Soutenir le projet : appel au financement participatif
Soutenu financièrement par la Fondation FondaMental, ce projet a encore besoin d’un coup de pouce pour voir le jour et finaliser le superbe travail engagé.
>> Rejoignez la campagne de financement participatif ! <<
Les maladies mentales, des maladies qui frappent les jeunes adultes
Les maladies psychiatriques sont des maladies fréquentes au pronostic sévère qui débutent souvent à la fin de l’adolescence ou au début de l’âge adulte. La prise en charge précoce des patients est un enjeu majeur: on sait aujourd’hui que les cinq premières années de la maladie sont celles au cours desquelles les chances de rémission sont les plus grandes et la réponse au traitement la meilleure.
Sensibiliser les jeunes, lutter contre les préjugés et les idées reçues qui entourent ces maladies sont indispensables et participent d’un effort de prévention pour améliorer le repérage des maladies mentales et la prise en charge des jeunes patients.
Un webdocumentaire pour informer et déstigmatiser
L’association Solidarité-Réhabilitation, en lien avec l’équipe du Pr Lançon (membre de la Fondation FondaMental) du CHU La Conception à Marseille, milite en faveur de la notion de rétablissement en santé mentale, une approche fondée sur les principes d’espoir, d’autonomisation, de choix et de responsabilité. Une approche qui veut que toute personne, tout citoyen ait les mêmes droits, les mêmes chances d’aller bien, de vivre bien, de se construire une vie riche et satisfaisante avec ou sans trouble psychique.
En février 2015, l’association a créé un groupe de travail réunissant usagers en santé mentale, psychologues et professionnels de l’audiovisuel. Ensemble, ils ont choisi de créer un webdocumentaire pour promouvoir le repérage et la prise en charge précoce de la souffrance psychique.
Cette initiative originale est la première en France de ce type.
>> Soutenez le projet <<
Nous voulions parler de santé mentale, de prévention et de rétablissement. Nous voulions dire aux jeunes et à toute personne concernée que la souffrance mentale n’est pas une fatalité, pas une honte non plus, qu’elle est courante et qu’il existe des moyens d’aller mieux.
