Le centre expert pour les troubles bipolaires de Nancy est mis à l’honneur
[La Semaine - 20 avril 2022]
Cette semaine, le média La Semaine a consacré un long papier au centre expert de la Fondation FondaMental pour les troubles bipolaires de Nancy.
Placée sous la responsabilité du docteur Thomas Schwitzer, une équipe de psychiatres hospitalo-universitaires, de neuropsychologues et une assistante médico administrative prennent en charge environ 400 patients par an. Et proposent des évaluations exhaustives et standardisées aux personnes avec un diagnostic de troubles bipolaires ou avec une suspicion diagnostique de troubles bipolaires.
En étroite collaboration avec la Fondation FondaMental, les équipes du centre expert de Nancy travaillent aussi beaucoup sur la recherche de marqueurs électro physiologiques, notamment rétiniens. Une piste d’avenir qui permettrait d’améliorer le dépistage précoce des troubles bipolaires.
EN SAVOIR +FondaMental Talk - comment notre alimentation peut nous redonner le moral ?
[Fondation FondaMental : 20 avril 2022]
Au menu du troisième épisode de notre podcast dédié à la santé mentale : le microbiote intestinal.
Pour en parler, le FondaMental Talk a reçu le Professeur Joël Doré, directeur de recherche à l’Institut National de la Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE). Il est à l’origine de la découverte du lien étroit entre le microbiote et notre cerveau. Une avancée majeure que nous avons évoquée ensemble, ce qui lui a permis de nous expliquer pourquoi et comment prendre soin de notre microbiote intestinal.
EN SAVOIR +Après la 3e vague de Covid, plus de la moitié des médecins hospitaliers étaient en burn-out et un tiers en dépression
[Le Quotidien du Médécin - 21 avril 2022]
Entre mai et juin 2021, une équipe de chercheurs de l’AP-HM, de la faculté des sciences médicales et paramédicales de Marseille et de la Fondation FondaMental ont interrogé 10 000 soignants exerçant dans des établissements français sur leur état de santé mentale.
Les premiers résultats, qui viennent d’être publiés dans la revue de management paramédical « Journal of nursing management » sont alarmants : les taux de burn-out atteignent 60,1 % chez les infirmiers en chirurgie contre 58,2 % pour les médecins (dont 10,1 % sont en burn-out sévère).
Autre résultat sans appel : la prévalence de la dépression est élevée pour toutes les catégories de soignants (environ 30 %, sauf chez les infirmiers et les cadres de santé). Une invitation urgente à améliorer les conditions de travail en milieu hospitalier.
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